Chaque lundi et mercredi du mois de décembre, les associations ont tenté d’interpeller les ministres sur la grande précarité qui touche les travailleurSEs du sexe depuis le début de cette crise pandémique. La situation sanitaire est venue s’ajouter à une situation de stigmatisation accrue des travailleurSEs du sexe depuis 2016 et la loi de pénalisation des clients.
Cette campagne a mis en avant deux axes : l’accès au logement et l’accès à la santé des travailleurSEs du sexe, lesquels ne sont déjà pas garantis en temps normal et se trouvent largement compromis. Nous avons partagé des témoignages des travailleurSEs du sexe recueillis par les associations communautaires depuis le début de la crise accompagné d’un visuel fort !
Cette campagne a été pensé pour sensibiliser tant les élus que les citoyens à la gravité et l’urgence de la situation pour de nombreuses TravailleurSEs du sexe, grandes oublié(e)s du quoi qu’il en coûte jupitérien.